Des jeunes et des chefs de file des milieux d’affaires et de l’éducation sortent des sentiers battus pour stimuler l’écosystème entrepreneurial canadien

22 janvier 2014

Comment les entrepreneurs profiteront-ils du « tsunami d’argent »? L’échec est-il désormais considéré comme une expérience professionnelle? La « présomption » du Canada (ou plutôt son absence) représente‑t-elle un frein pour l’entrepreneuriat?

Toronto, Ontario (Marketwired – le 22 janvier 2014) : Ces questions et d’autres défis dérangeants ont été lancés aujourd’hui, alors que plus de 120 jeunes entrepreneurs dynamiques et des dirigeants d’entreprise, des chefs de file des secteurs communautaire, sans but lucratif et de l’éducation, de même que des décideurs ont bravé le froid hivernal pour discuter l’avenir de l’entrepreneuriat jeunesse au Canada.

La série de tables rondes Action Entrepreneurship : Faire grandir la jeune entreprise, organisée par la Fondation Canadienne des Jeunes Entrepreneurs (FCJE), mise sur les idées audacieuses et l’esprit collaboratif des jeunes gens d’affaires et de ceux qui les appuient, dans le cadre d’une tournée de dix villes canadiennes ayant pour but d’identifier les possibilités les plus prometteuses d’assurer l’essor de l’entrepreneuriat jeunesse au pays. Les tables rondes culmineront en un sommet national, en mai prochain, et un plan d’action visant à améliorer l’écosystème entrepreneurial sera élaboré en collégialité.

« Il existe de nombreuses ressources pour aider les jeunes entrepreneurs canadiens à réussir – qu’il s’agisse d’initiatives de sensibilisation, d’encouragement à l’enseignement et à la formation, en passant par le financement, le réseautage, l’élaboration de politiques et l’approvisionnement, a déclaré Julia Deans, chef de la direction de la Fondation Canadienne des Jeunes Entrepreneurs. Des idées formidables pour faire progresser l’entrepreneuriat jeunesse de manière significative ont fait surface pendant les conversations d’aujourd’hui et nous sommes impatients de poursuivre le dialogue dans tout le Canada. »

Les faits saillants de la table ronde de Toronto comprennent notamment :

  • le dévoilement des priorités de la Stratégie d’emploi pour les jeunes du gouvernement de l’Ontario, par l’honorable Reza Moridi, ministre de la Recherche et de l’Innovation;
  • l’annonce des résultats du Global Entrepreneurship Monitor 2013, la plus importante étude sur l’entrepreneuriat au monde — dont c’était la première présentation officielle au Canada — qui rapporte que les entrepreneurs sont parmi les gens les plus heureux au monde, en termes de satisfaction professionnelle, et que le Canada occupe les premiers rangs du classement mondial, en ce qui a trait au nombre de jeunes de 18 à 34 ans qui planifient activement une nouvelle entreprise ou en sont aux premières phases de son démarrage.

« Aujourd’hui, les élèves du secondaire doivent consacrer un certain nombre d’heures à des activités bénévoles pour pouvoir obtenir leur diplôme. Ne pourrait-on pas leur offrir la possibilité de consacrer plutôt du temps à explorer l’entrepreneuriat et la création d’entreprise? », a suggéré Kyle Ardill, de Synergy Wellness Attitude Training, reprenant l’idée formulée aujourd’hui qu’il a le plus appréciée. « Cela permettrait d’accroître l’intérêt et l’engagement manifestés par les élèves envers le programme et de s’assurer qu’ils terminent leurs études en détenant une meilleure compréhension de ce que représente une carrière en entrepreneuriat. »

Plusieurs autres participants ont, pour leur part, échangé et lancé des discussions sur les commentaires entendus pendant les tables rondes, au moyen des médias sociaux (@FCJE/#AECanada).

Pour de plus amples renseignements sur l’initiative Action Entrepreneurship : Faire grandir la jeune entreprise, visitez lewww.actionentrepreneurship.ca.

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À propos de la Fondation Canadienne des Jeunes Entrepreneurs

La Fondation Canadienne des Jeunes Entrepreneurs (FCJE) est une organisation nationale sans but lucratif qui a pour mission de contribuer à la croissance économique de notre pays, un jeune entrepreneur à la fois. Elle mise sur la personnalité et non sur les garanties lorsqu’elle accorde à ses jeunes, âgés de 18 à 39 ans, de l’accompagnement au prédémarrage, diverses ressources, jusqu’à         15 000 $ de financement à faible taux d’intérêt et un programme de mentorat inégalé dans l’industrie afin qu’ils puissent mettre sur pied leur entreprise et en assurer le succès durable. La Banque de développement du Canada, partenaire de cofinancement de la FCJE, mise sur le processus de demande de cette dernière pour fournir 30 000 $ de soutien supplémentaire aux entrepreneurs FCJE.

Créée en 1996, la FCJE est reconnue comme une chef de file mondiale en matière d’entrepreneuriat jeunesse. Membre fondatrice de l’Alliance des jeunes entrepreneurs du G20 (AJE G20), elle fait également partie du réseau Youth Business International, parrainé par le prince de Galles, et agit comme hôtesse officielle de la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat au Canada.